Agent de rencontre - Penemue

Je ne sais pas si ce texte rentre dans les caractéristiques du sujet
imposé, mais puisqu'il a été inspiré par celui-ci. Je crois que sa
place est ici.

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La journée de Noël avait été un
charme, mais celle-ci était maintenant passé et maintenant c'était la journée
du boxing-day. Convaincu in extremis par sa parenté d'aller magasiner dans ses
soi-disant marchés modifiés pour contenter la majorité, il était réticent à
l’idée d’aller se promener parmi les gens sans aucun autre prétexte que celui
de surconsommer. L’ennui avait fini par triompher sur son dédain.

Il regarda l’horloge. Elle indiquait treize-heure et plus
ils approchait de cette église version vingt et unième siècle, plus les
prêcheurs et croyants de la nouvelle religion était nombreux. Chaque cinq cent
mètre de route était caractérisé par un nouveau prêtre dictant les moyens
d’être heureux. Acheter par-ci, acheter par-là. Comme toute les religions, ceux-ci
mène à la même chose : une apparence de bonheur. Surconsommer mes amis,
aller! Croyez dans les nouveau dieux :Sony, Gilett, Venus et j’en passe.
Bref, plus il approchait du lieu de culte et plus il se disait qu’il avait pris
une mauvaise décision.

À son arrivé, les centres
commerciaux lui ouvrire leur porte, lui laissant sentir les odeurs de
tentation. La masse était au rendez-vous comme à l’habitude. Une impression de
ne pas se mélanger dans le décors se fit soudain sentir pourtant il n’avait rien
consommer qui aurait dû le faire sentir ainsi. Pourtant la sensation était là.
Il était là et se demandait toujours pourquoi. Chaque personne qu’il voyait
était une consommatrice d’une drogue publiquement accepté. Chaque petit
commerce représentant le pusher d’une multitude de drogues ayant le même effet.
Il était venu dans l’idée d’acheter une paire d’écouteur plus pratique que la
dernière. Il entra dans le premier commerce, ramassa sa ganja et alla voir le
pusher pour payer son dû. Celui-ci accepta le deal et le laissa partir. Il
brancha sa nouvellement acquise dose de satisfaction sur son distributeur de
PCP musical et se laissa valser dans un tourbillon de valse
hallucinogène : deeply disturbed and I’m deeply Unhappy. Il sorti du petit
commerce qui venait de lui procurer sa dose et se promena dans les couloirs de
la mort rationnelle pour mieux évaluer la gravité de l’addiction. Chaque doper
avait sa propre caractéristiques : chandail Ripzone, pantalon pris chez
Simon’s, nourriture frais régurgiter de chez McDope, en conclusion un portrait
alarmant.

La journée avait était fatigante. Une journée de dure labeur a toujours
ses caractéristiques. Résister a toute les tentations est un travail de toute
les heures.

Bon, jvais me débarrasser du fait que c'est bourré de fautes en le disant en partant: Bertha, t'es pourri.

Mais sinon, le texte est vraiment intéressant. Il a probablement moins rapport avec le titre du sujet que le mien , Mais j'ai bien aimé les 2 métaphores que t'utilises pour parler du vice des foules... Surtout avec le petit toi, qui y es attiré malgré toi.

Points marquants:
-"Croyez dans les nouveau dieux :Sony, Gilett, Venus et j’en passe."
Trouvez l'intrus? Venus n'est pas une marque, contrairement aux 2 autres, mais le parallèle avec les dieux, s'il était voulu, est intéressant.

- Le choix des tounes d'infected mushroom ca décrit bien ton mood du moment.

- McDope, jeu de mots poche, comme je les aime ^o).

Bref, good job Bertha, content que tu te sois joint à nous. Ton texte est réfléchi et je le trouve pas tant hors-sujet que ça... encore une fois, j'aime bien comment les métaphores s'enchaînent!

En réalité quand je parlais de Vénus je fais référence aux rasoirs...mais ses rasoirs sont fait par Gilett, donc c'est effectivement une erreur de ma part et pour les métaphores j'ai vraiment eu de l'inspiration. Et mes écouteurs marchent toujours aussi bien...

Inquiète toi pas, je savais que tu faisais référence aux rasoirs

Prochaine fois qu'on se voit, je te serre dans mes bras! T'as fait ma journée en postant ce texte-là! Ouah! Ça revit par ici!

J'aime bien l'idée de ton texte. La seule chose qui me chicotte, c'est que ça m'a l'air plutôt opportuniste, comme texte. Mais, d'un autre côté, le fait que tu aies pu inclure cette opinion, cette perception de la société dans un texte qui n'appelait pas vraiment (lire: pas du tout) quelque argumentation me plait aussi. Bon, c'est peut-être aussi que c'est juste moi qui ne m'y attendais pas en postant le sujet, m'enfin.

Encore là, tu as réussi à te distancier du texte, tout en gardant un regard et un ton critique. Ce n'est pas le protagoniste qui pense ça, ce n'est pas même le narrateur (enfin, si, d'un point de vue technique, mais bon). Cette idée est complètement extérieure, au-delà de tout ça, elle transcende presque. J'aime bien. Et puis, ton texte, contrairement au mien, n'est pas plat, (dit-elle d'un ton un peu amer.)

Seul hic: je suis plutôt d'accord avec Ti-Kev sur la question des fautes...

Merci bien pour toute ses belles critiques. Sa fait chaud au coeur et désolé pour les fautes.